Da Ci Bei, la plus grande compassion

Tout en continuant notre série des 10 qualités Da (ou 10 Da), le sujet d’aujourd’hui est la compassion. La compassion est un sujet qui revient souvent au fur et à mesure que l’on avance sur le chemin spirituel.

Qu’est-ce la compassion ? Au sens propre, le mot signifie “celui qui souffre avec”. Autrement dit, lorsque quelqu’un souffre, nous pouvons “ressentir” la souffrance que cette personne vit et cela peut nous aider à poser un geste pour aider la personne. L’un des saints les plus connus en Orient, ayant ce trait, est Guan Shi Yin Pusa, le bodhisattva de la compassion. Un bodhisattva est une personne qui a presque atteint l’illumination, l’état de bouddha. Cet être est aussi connu comme étant la déesse de la miséricorde.

Cet article abordera plus la question de la compassion dans les relations (entre autres, celle de couple). D’une manière ou d’une autre, chaque relation que nous vivons est un cadeau pour nous aider à faire grandir. Le plus souvent, les relations les plus difficiles à transformer sont celles avec nos proches. C’est suite à une expérience vécue dernièrement que je souhaite en parler de cette manière.

Pourquoi y a-t-il des défis ou des blocages dans l’une ou l’autre de nos relations ? La réponse est simple. Nos relations sont le résultat des actions que nous avons ou avions menées dans le passé. À la suite de ces résultats-là, nous avons une facilité ou non d’interagir avec chacun. Chacun est différent et demande une approche qui lui correspond pour l’aider sur le chemin de la vie.

Lorsqu’une personne dans la relation (par simplicité, je prends le cas d’un couple) vit une situation difficile au moment présent, il se présente une occasion à l’autre, d’offrir son soutien. Il n’y a pas une recette unique pour offrir son soutien mis à part être sincère et présent pour la personne. Seulement voilà, il se peut que les bonnes intentions du partenaire soient mal interprétées, créant ainsi plus de souffrance dans la relation. Lorsque la personne vit ce défi, il faut apporter le soutien auquel la personne puisse également se sentir soutenue. La plupart du temps, nous réconfortons les personnes de la façon dont nous voudrions être conforté, or ce n’est pas le besoin de la personne.

Si jamais, il y a une rebuffade lors de la tentative de soutien, il est important par la suite de prendre un recul nécessaire et demander sincèrement pardon pour ce qui a pu se passer, sans pour autant partir au quart de tour.

Il est bon de se rappeler que chacun vit son évolution spirituelle selon ce qu’il est capable d’assumer. Or dans une relation de couple ou toute autre relation, souvent, les deux partenaires ne seront pas au même point dans ce chemin d’évolution. Dès lors, apprendre à développer la compassion nous permettras de développer plus de patience à l’égard de ces situations ou un détachement sur les différentes actions pouvant influencer la journée.

Développer la compassion nous permet d’apprendre à ressentir ce que peut ressentir l’autre, de comprendre sa peine et de l’aider à la surmonter.

Pour ceux qui n’ont pas ce genre de soucis, je vous invite à offrir dans ce cas vos services afin d’aider ceux dans le besoin.

Avec beaucoup d’amour,
Guillaume

J’ai senti que j’ai pu me libérer.

Bonjour tout le monde,

Je voulais juste partager avec vous le bonheur que j’ai ressenti après avoir fait un atelier avec Johanne et Guillaume à St-Jérôme le samedi 29 octobre dernier. Le sujet était sur le karma.

J’en avais gros sur le cœur et je sens que j’ai pu me libérer. Récemment j’étais tiraillée, j’ai fait des choix, qui m’apparaissent les meilleurs pour moi en ce moment. Toutefois j’étais tiraillée intérieurement parce que je sens que mon âme aimerait que je me dirige vers une autre direction. Je me sentais coupable de ces choix et j’avais peur des représailles karmiques. Le sujet était donc parfait pour moi… Avec cet atelier, j’ai pu librement l’exprimer et sortir l’émotion reliée, qui grugeait ma joie de vivre dernièrement.

Les pratiques étaient parfaites et vraiment adaptées. Guillaume et Johanne ont su s’adapter aux besoins des participants. Enlever ce poids m’a donné plus d’énergie pour poursuivre mon ménage intérieur et aussi de prendre ma place dans certaines situations que j’avais laissées traîner. J’ai aussi compris encore plus l’importance de s’ouvrir et de nommer aux autres ce qui ne va pas à l’intérieur de nous.

Pour moi, les pratiques en groupe sont capitales et d’une grande force. Merci à toutes les belles âmes qui m’ont écoutée et supportée. Je vous porte chaleureusement dans mon cœur.

Martine L. ~ Montréal

Da Kuan Shu, le plus grand pardon

Bonjour à tous,

Nous continuons la série des 10 Da. Ces dix qualités sont un aspect important pour notre vie… Un peu comme les dix commandements1 reçus par Moïse, lors de la fuite du peuple hébreux d’Egypte. D’après ma compréhension, ces dix commandements sont des préceptes aidant tout un chacun à vivre d’une façon plus proche du Divin.

Ces préceptes évoluent avec le temps et la civilisation. En effet, en fonction de notre évolution personnelle et collective, nous continuons d’apprendre grâce à des êtres de lumière, nous indiquant la voie. À travers le temps, nous pouvons apercevoir un point commun parmi toutes les religions ou systèmes de croyance, aidant les personnes à créer un espace de « lumière » à travers le monde. Ce point commun est l’amour.

Pour ma part, il est difficile de pouvoir parler d’autres qualités, sans parler d’abord de l’amour, de cet amour divin, universel. Ce dernier nous entoure. Ce dernier attend notre ouverture à sa fréquence et sa vibration pour que nous puissions être un canal d’amour plus puissant pouvant ainsi transformer le champ vibratoire et énergétique des personnes qui nous entourent.

Dans la série des 10 Da, le pardon suit l’amour. Dans l’enseignement de Maître Sha, le pardon apporte la paix intérieure et la joie intérieure. Avant de pardonner une personne, il faut l’aimer. Aimer, dans ce cas, signifie aimer la personne, avec ces défauts et ces qualités, la reconnaître pour ce qu’elle est. En faisant cela, nous ouvrons la porte à l’amour de l’univers, le laissant circuler à l’intérieur de nous.

Par la suite, nous pouvons commencer à pardonner et à demander pardon.

Pourquoi pardonner ?

Le pardon est présent dans toutes les religions, que indépendamment la façon dont ce dernier est expliqué.

Nous vivons dans un monde de dualité. Il y a le bon et le mauvais, la lumière et la noirceur, … Chaque action que nous faisons crée soit de la lumière (p. ex. : en aidant à créer un climat d’amour, de paix, d’harmonie, de bonté, … autour de nous) ou des ténèbres (p. ex. : en volant, en trichant, … le résultat de nos actions fait au détriment des autres).

Nous avons tous remarqué que lorsque nous faisons nos actions, nous ressentons un sentiment de bien-être, de joie qui continue de grandir. Lorsque nous subissons des mauvaises actions ou qu’il nous arrive par inadvertance d’en faire, nous nous sentons blessés, coupables. Nos actions passées ont des conséquences sur n’importe quel aspect de notre vie, que ce soit physique, émotionnel, mental, spirituel, relationnel ou financier.

Pardonner permet de faire la paix, permet de redécouvrir un sentiment de paix et de joie à l’intérieur de nous. Pardonner les personnes qui nous ont blessé d’une manière ou d’une autre, nous permet de libérer tous ressentiments négatifs à l’intérieur de nous. Cette libération apporte plus de lumière, transformant toute cette noirceur qui nous bloque et nous empoisonne.

Demander pardon est un acte d’humilité. Nous finissons par reconnaître nos erreurs. En demandant pardon, nous offrons une chance de transformer la noirceur de nos actes en lumière. Par notre sincérité, les âmes que nous avons blessées finiront par abandonner leur ressentiment, car nous aurons finalement appris la leçon à apprendre. Le cas échéant, il faut continuer à être sincère, à offrir davantage d’amour, parce que certains de nos actes ont tellement blessés une personne qu’il faut s’y reprendre plus d’une fois.

Comment pardonner et demander pardon ?

La première étape est d’être sincère dans votre demande. La sincérité fait bouger les Cieux. Il n’y a pas de mots pour exprimer l’importance d’être sincère. Prenez un moment pour ressentir l’amour à l’intérieur de vous, ou de faire une pratique pour vous aider à retrouver cet état.

Par la suite, je vous invite à faire la demande suivante, ou de suivre la pratique suivante :

Chers âme, esprit et corps de mon (ma) __________ (nommez le système, l’organe ou la partie du corps, l’état de santé, la relation, les finances, l’entreprise ou tout autre aspect de la vie ayant besoin de pardon)
Je vous aime.
Vous avez le pouvoir de vous guérir et de vous transformer.
Faites du bon travail.
Merci.

Cher Divin, cher Tao, (ou chers guides spirituels)
Veuillez pardonner mes ancêtres et moi pour toutes les erreurs que nous avons commises dans nos vies.
Afin de recevoir votre pardon, je servirai inconditionnellement.
À toute personne que j’ai blessée dans l’une de mes vies, je demande profondément pardon.
S’il vous plait, pardonnez-moi.
À toute personne m’ayant blessé dans l’une de mes vie, je vous offre mon pardon total
.

Ensuite, chantez ou répétez :

Je vous pardonne
Vous me pardonnez
Apportons l’amour, la paix et l’harmonie
Apportons l’amour, la paix et l’harmonie

J’aime mon coeur et mon âme
J’aime toute l’humanité
Joignons nos coeurs et nos âmes ensemble
Amour, paix et harmonie
Amour, paix et harmonie

Je vous invite à le faire 15 minutes par jour, le plus sincèrement possible.

Avec le plus grand amour,
Guillaume

P.S : Je tenais à vous partager cette magnifique vidéo, reprenant l’échange entre deux êtres de lumière par rapport à leur vue sur le pardon.


  1. Les dix commandements sont la traduction chrétienne de עֲשֶׂרֶת הַדִּבְּרוֹת : ʿAsereth ha-Diberoth. Dans la tradition judaïque, ces préceptes sont connus sous le nom des Dix paroles. Pour en savoir plus, consultez l’article sur Wikipedia

Da Ai, le plus grand amour : première étape d’une transformation durable

Bonjour et bienvenue pour cette nouvelle édition de ce blog, cette fois en vidéo, sur Les miracles de guérison de l’âme pour ouvrir son cœur et son âme au divin.

Le thème d’aujourd’hui est Da Ai. Da Ai (大愛), c’est du chinois, et cela veut dire le plus grand amour.

Pourquoi parler de l’amour?

Je pense que nous sommes tous, plus ou moins, ouverts à la notion d’aimer son prochain. Quand je dis aimer son prochain, j’inclus aussi là-dedans aimer ses parents, sa famille, son conjoint, ses enfants, ses proches, ses amis… et, aussi difficile que cela puisse paraître, aimer la personne, arriver à avoir de l’amour pour la personne qui nous blesse (ou nous a blessé). Arriver à avoir de l’amour pour les personnes qui, par nos actions maladroites, sont blessées. Avoir de l’amour pour cette situation qui aurait créé des problèmes et faire en sorte que l’amour que nous avons puisse transformer ces quiproquos, transformer ces malentendus, transformer ces blessures afin de pouvoir créer en fait un environnement d’amour tout autour de nous.

La raison pour laquelle je souhaite vous parler de cette qualité, Da Ai, c’est parce que j’aimerai en faire une série. Cette série, en fait, va couvrir 10 semaines (épisodes). Une semaine (un épisode) pour chaque qualité. Maître Sha nous partage ces qualités en fait comme dix aspects. Si nous arrivons à les vivre et à les faire rayonner à travers nous, nous pouvons arriver ainsi à vivre dans un environnement plus en paix, plus serein et beaucoup plus agréable pour toutes les personnes qui nous entourent, nous en premier.

Da Ai est la première qualité de cette série. Da Ai, le plus grand amour, puis après Da Kuan Shu, le plus grand pardon, et ainsi de suite.

L’une des raisons pour lesquelles on commence avec l’amour, c’est qu’il est très difficile… en tout cas, pour ma part, je trouve qu’il est très difficile, de dire pardon ou d’avoir de la compassion pour quelqu’un ou encore d’avoir notre lumière, notre dévotion, ou même offrir du service sans aimer son prochain, sans ressentir un appel qui fait que notre cœur ou notre âme soit ému et aie envie d’offrir notre personne, envie d’offrir du temps pour pouvoir aider son prochain. Cet aspect-là, je l’ai découvert ou redécouvert en faisant une pratique avec d’autres personnes lors d’une rencontre hebdomadaire. Cela a vraiment été une révélation de savoir qu’il est important, en fait, de ressentir cette fréquence d’amour, de ressentir cette vibration.

Si nous n’arrivons pas à ressentir cette fréquence et vibration, dans ces cas-là, comment faire? Pourquoi dans la situation que je vis présentement, il y a un désaccord ou quelque chose qui fait qu’il y a un blocage faisant que les deux personnes qui le vivent ne soient pas dans (cette fréquence) d’amour?

Voici une vidéo de Maître Sha, qui va chanter et nous bénir avec les aspects de Da Ai et Da Kuan Shu ou l’amour et le pardon.

Arriver à ressentir cette fréquence d’amour et de vibration, même si celle-ci peut-être difficile… vous saurez. En tant que tel, je ne peux pas vous décrire cette sensation. C’est une expérience qu’on peut seulement vivre.

J’aimerai partager avec vous, d’ailleurs, cette pratique avec un CD que Maître Sha avait enregistré. C’était dans les premiers CDs qui m’a fait comprendre à quel point nous étions aimés et choyés. Et j’ai envie aussi que vous en fassiez l’expérience, ne serait-ce que pour 5 minutes. Afin que vous aussi puissiez vivre ces moments, et vous dire OK… C’est ça! Les paroles, en fait, même si on ne les comprend pas en français, se traduisent : Dieu me donne son cœur, Dieu me donne son amour, mon cœur se fond dans son cœur, mon amour se font à son amour. Fondre dans le sens de s’unir, fusionner. Et j’ai vraiment envie de vous partager ce passage (de 6:10 min à 9:35mn sur la première vidéo YouTube).

Donc voilà, écouter ce mantra, ou du moins, participer et chanter avec ce mantra, en utilisant les techniques des quatre pouvoirs de Maître Sha, dont je vais vous partager d’ailleurs une invocation 1, m’a permis de ressentir cet amour présent, tout autour de nous et de faciliter certains aspects dans ma vie, comme être plus serein, plus en paix, être plus ouvert aux autres. Et c’est vraiment cet aspect-là que je vous invite à en faire l’expérience et à partager, à chanter, et vous avez le choix d’utiliser soit la vidéo de Maître Sha avec Da Aî et Da Kuan Shu, soit d’utiliser God gives his heart to me, je vous invite vraiment à écouter, à pratiquer, et de là à faire aussi cette expérience.

Merci, merci beaucoup de votre patience, merci beaucoup de votre soutien, et j’espère que vous profiterez de ce moment, ou de cet instant, pour faire aussi cette pratique et faire aussi cette expérience.

Au plaisir de vous revoir et à bientôt

Je vous aime,
Guillaume.


  1. Pouvoir du corps : Placez une main sur votre cœur, placez l’autre main sur votre bas-ventre.
    Pouvoir de l’âme :
    Mon cher cœur,
    Je t’aime,
    S’il te plaît, aide-moi à m’ouvrir à l’amour universel, à l’amour de mes guides et à l’amour des autres.
    Aide-moi à ressentir cette fréquence d’amour,
    Je suis extrêmement reconnaissant.
    Merci.
    Pouvoir de l’esprit : Visualisez une belle lumière dorée dans la région de votre cœur.
    Pouvoir du son :
    Chantez silencieusement ou à voix haute :

    Pour le chinois on écoute 🙂
    Lu la lu la la li
    Lu la lu la la li
    Lu la lu la li
    Lu la lu la la li
    God gives his heart to me.
    God gives his love to me.
    My heart meld with his heart.
    My love meld with his love.

Jusqu’où le destin est-il tracé d’avance ? Pensez-vous être le créateur de votre vie ?

Cela me fait très plaisir d’être avec vous. Si vous découvrez mon blog ou si vous ne l’avez pas encore vu, cela parle de l’ouverture de soi par rapport au grand tout, par rapport au divin, par rapport à Dieu, par rapport à tous ces êtres magnifiques qui nous entourent. Aujourd’hui, je reprends un thème discuté avec différentes personnes très intéressantes, il y a quelque temps. Le sujet de la discussion était : Jusqu’où le destin est-il tracé d’avance? et Pensez-vous être le créateur de votre vie?

Lorsqu’on a commencé à parler, à échanger nos idées, j’avoue que cette question m’a fait réfléchir. Jusqu’où le destin est-il tracé d’avance? et Pensez-vous être créateur de votre vie? dans le sens où l’une des questions principales est comment définissons-nous le destin? qu’est-ce que la création, la cocréation? et puis comment cela s’imbrique-t-il avec le chemin spirituel que chacun fait? Il en était ressorti, dans les discussions, le fait d’être aligné avec le soi, le super-soi, son âme et le fait que certains choix faits, certaines situations vécues sont liés à notre karma.

En tant que tel, cela m’a poussé à réfléchir. OK, le fait d’être aligné… le fait d’être avec le karma… c’est quelque chose que j’entends souvent. Puis la question que je me pose était premièrement : comment définissons-nous le karma ou, du moins, quelle est la base que nous comprenons pour définir le karma. Je vous partage, du moins ce que j’en comprends, de ce que j’ai étudié, de ce que j’ai appris avec Dr et Maître Sha, c’est que le karma est l’enregistrement des services. Il y a du bon karma, il y a du mauvais karma. En fonction de cela, notre vie se déroule. Cela influence, en tant que tel, les décisions faites, le chemin pris et le résultat avec lequel on vit. Le fait de dire est-ce que le destin est tracé d’avance ? dans ce cadre-là, oui. Si on vit le karma, que l’on décide de se laisser porter par le flot de la vie, comme un bateau sur les vagues, sans forcément avoir de direction où l’on va, dans ce cas présent, oui, le destin est tracé d’avance. On peut se dire, je fais si ou je fais ça, peu importe les défis qui s’en viennent, ou les bonnes choses que nous vivons, c’est la que la vie a l’air de nous mener. Dans ce cadre-là, c’est là que le destin est tracé d’avance.

De ce point de vue là, c’est vrai qu’on peut avoir l’impression d’avoir forcément le choix… mais je pense qu’on a toujours le choix. En tant que tel, on a toujours le choix de tracer son propre destin.

Le partenaire dans la discussion avait partagé le fait d’être aligné. Il était surpris du fait que lorsqu’il suit son intuition, son âme, lorsqu’il est à l’écoute, tout à l’air de se développer. De ce point de vue là, tu es là, ouhaaaaa… OK. Et ce sont deux notions que je trouve très intéressantes.

Le destin, c’est vraiment quelque chose qui peut faire peur. Se dire qu’est-ce qu’on est venu faire ici ? C’est quoi le destin, comment définissons-nous le destin? Est-ce la tâche pour laquelle on est venu accomplir ici? Est-ce le processus dans lequel nous sommes présentement, avec tout ce qui s’en vient autour de nous et de se dire ouhooo…. je vois les changements, mais je ne sais pas trop comment réagir ou hmmm OK, je suis ma foi puis je fais confiance et j’avance? De ce que j’ai appris et de ce que je comprends, lorsque nous venons ici, nous tous une tâche à accomplir. Nous avons tous le choix, d’une certaine manière de l’accomplir ou de ne pas l’accomplir. Nous avons le libre arbitre, non? Lorsque nous disons d’aligner, d’avancer et d’accomplir cette tâche, nous avons tout ce qui se met à s’aligner, comme ça. On se dit là : ouhaou… tout ce qu’il fait, il avance, c’est magnifique, c’est magique.

Donc c’est ça, le destin est, en tant que tel, la tâche que nous avons décidée à accomplir afin d’avancer dans notre évolution que tu décides de travailler cet aspect-là dans cette vie. On peut être d’accord, on peut être pas d’accord. C’est la compréhension que j’en ai.

Maintenant, notre destin est influençable, d’une certaine manière, en fonction des choix que nous faisons. Ce qui fait que nous avons la possibilité de créer. Nous sommes créateurs de notre vie. Nous pouvons créer, en fait, facilement ce que nous vivons au jour le jour. Nous avons la possibilité de changer notre passé pour vivre un meilleur futur.

Tout est en relation avec le karma. Est-ce que je me laisse porter au gré du vent ou est-ce que je fais le nécessaire pour prendre une direction et j’avance, je passe à travers les différentes épreuves que la vie me met sur mon chemin pour me faire grandir et pour, en fait, être au service de tous. Nous sommes tous au service de tous, peu importe comment on définit la manière de servir et comment ce dernier est compris. Tous nous voulons vivre une vie avec un peu plus d’amour, de bien-être, d’harmonie et qu’on évite de se chamailler un peu à droite, à gauche.

Dans le cas présent, cela répond à la question de jusqu’où le destin est tracé d’avance. En tant que tel, nous le vivons au jour le jour. Notre destin, si nous comparons en faisant un plan de la journée, c’est la tâche, le but final que nous voulons. Mais lorsque nous naissons ici, puis que nous ne découvre pas notre tâche. Il se peut que nous ne soyons pas à l’écoute de soi, donc il y a autre chose qui se met en place. Nous avons la possibilité d’avancer ou de reculer sur ce chemin d’évolution.

Donc voilà, je souhaitais vous partager ce moment, cette réflexion puis j’espère bien que cela va pouvoir répondre à certaines des questions que vous vous posez, dans ce cas présent, tant mieux, et le cas échéant, on se donne rendez-vous une prochaine fois avec un autre sujet. Je vous invite sincèrement à partager vos commentaires et merci d’avoir pris ces quelques minutes pour m’écouter et au plaisir de pouvoir vous retrouver bientôt.

Au revoir,
avec mon plus grand amour,
Guillaume

Courage

Pardon.

Je tiens à m’excuser pour avoir manqué mon engagement de poster un billet au premier et au quinze de chaque mois. C’est souvent un défi de pouvoir honorer cet engagement, car souvent, le billet est fait la veille pour le lendemain. Le sujet se présente au fil des rencontres. Ces moments de partages, j’avoue avoir un certain plaisir à les rédiger… mais parfois ce qui est vécu fait en sorte que je rate ce rendez-vous.

Durant ce dernier mois, j’ai vécu plusieurs moments touchants, éclairant ce chemin parfois difficile. Cela faisait déjà un moment que je revivais cette maxime : le chemin spirituel est un chemin cruel. Le chemin spirituel est un chemin de purification, de transformation de soi. Cette purification nous permet de faire un trait sur les erreurs passées, cependant il faut que nous puissions en apprendre la leçon et passer au travers. Dans le cas contraire, on répète les mêmes schémas inlassablement.

En 2014, j’ai traduit un témoignage concernant l’importance d’un maître dans notre vie1. Pourtant lire l’expérience de quelqu’un d’autre et vivre son expérience sont deux choses totalement différentes.

Dernièrement, j’ai eu l’occasion unique de pouvoir participer à une retraite organisée par mon père spirituel, Maître Sha. Ce n’est que maintenant que je me rends compte de l’importance qu’il prend dans ma vie.

Comme Lawrence l’avait exprimé, un maître spirituel est celui qui nous guide afin que nous puissions ouvrir notre cœur davantage à l’amour, à la lumière du divin, des cieux, de la source, peu importe votre système de croyances. Sa tâche est de nous préparer et de nous aider à nous purifier davantage, d’être autonome afin de pouvoir partager notre ouverture et servir d’autres personnes. Cette transformation peut être lente, rapide, facile ou intense en fonction du désir que nous avons d’avancer.

La raison pour laquelle nous suivons un maître est que ce dernier nous aime inconditionnellement et nous donne les outils nécessaires afin de grandir. Il s’établit un lien d’amour et de confiance inexplicables et pourtant tellement précieux. On dit souvent quand l’élève est prêt, le maître apparaît. De ce que je vis, le maître, ce guide, est toujours avec nous. C’est notre ouverture, notre décision à changer qui fait en sorte que nous puissions nous rendre compte qu’il est toujours là avec nous.

En tant qu’étudiant ou disciple, notre responsabilité est de nous réveiller le plus rapidement possible, de nous purifier afin de pouvoir aider à propager la « bonne nouvelle ». Cette « bonne nouvelle » est un message d’amour, de paix, de lumière et d’harmonie que nous attendons tous, que nous cherchons tous inlassablement.

Néanmoins, afin d’avancer, il faut également trouver des mentors et une communauté. Ces derniers offrent le soutien nécessaire afin de pouvoir nous aider à traverser quand plus rien ne tourne rond. C’est aussi notre responsabilité de demander à la personne de tendre la main, et être capable de la prendre quand elle est tendue afin de pouvoir progresser. Rares sont les personnes qui arrivent à avancer seules. Nous sommes des personnes vivant en groupe et c’est par ce groupe que la transformation, la purification en sera facilitée.

Au plaisir de vous retrouver dans une quinzaine,
Avec mon plus grand amour,

Guillaume


  1. https://lumieredelame.ca/2014/11/vivre-des-relations-divines-limportance-dun-maitre/

La beauté de la joie

La plus perdue de toutes les journées est celle où l’on n’a pas ri. ~ Nicolas Chamfort

Cette phrase peut sembler dure au premier abord. Cependant rire apporte une certaine légèreté dans notre vie. Rire est une expression de cette joie ressentie à chaque instant. Chacun d’entre nous a cette capacité d’être joyeux.

Rire nous permet également d’avoir un certain recul, un certain lâcher-prise sur notre quotidien. Lorsque la vie est dure, que nous accumulons un problème après l’autre, rapidement nous nous sentons submergés. Il est difficile dans ces cas-là d’avoir ce recul et de ressentir la joie. Il en va de même lorsque nous vivons notre routine quotidienne sans pour autant prendre le temps d’être émerveillé par le monde qui nous entoure. Nous perdons ce lien privilégié avec nous-mêmes.

Prenez un moment pour regarder les personnes autour de vous. Que ce soit à un passage piéton, dans une station de métro, rares sont les personnes qui sourient vraiment. Le plus souvent, ce sont les enfants et leur innocence qui parviennent à nous faire sourire. Pourquoi est-ce tant difficile de pouvoir sourire? Que faut-il faire pour que cette étincelle de joie s’exprime d’elle-même sur votre visage?

Je ne peux forcer personne à être joyeux. Être joyeux est un état. Même si le dictionnaire définit la joie comme étant : Sentiment de plaisir, de bonheur intense, caractérisé par sa plénitude et sa durée limitée, et éprouvé par quelqu’un dont une aspiration, un désir est satisfait ou en voie de l’être1, il est possible de ressentir cet état en continu.

De mon expérience en tant que chercheur spirituel, je me surprends à avoir des moments où cette joie, je ne la ressens pas. Lors des moments difficiles, elle est même inexistante. L’on me dit souvent d’être dans l’amour, d’être cette présence, mais cela reste difficile.

Comment faire alors pour retourner à la source de cette joie? Être joyeux, comme mentionné plus haut, cela ne se force pas. L’important est de prendre un moment dans la journée pour retrouver cette relation, ce lien avec nous, notre essence. Lorsque nous regardons les meneurs ou maîtres spirituels, ces derniers continuent d’avoir le sourire et d’être joyeux.

Au plus profond de nous, il y a cette étincelle de joie, cette présence divine qui ne demande qu’à s’exprimer. Laissons la fleurir. Nourrissons là chaque jour avec des moments qui nous inspirent (un son, une photo, une situation, une méditation…). Il nous est possible de retrouver cet instant de bonheur.

C’est là que la joie devient merveilleuse. En retrouvant cet instant de bonheur, nous avons notre cœur au Divin. Nous permettons à son amour, sa lumière de nous toucher. Nous nous rapprochons de l’essence de qui nous sommes. Nous devenons présents. Nous sommes temporairement Un. Cet état temporaire peut devenir un état permanent.

À force de vivre différents moments de joie ou de bonheur, nous finissons par les ressentir davantage. Ces derniers viennent naturellement à nous. À la fin, nous arrivons de vivre cet état en permanence. C’est une expérience de vivre consciemment dans le monde dans lequel nous vivons.

Trouvez ces moments de bonheur! faites-en l’expérience! Vivez pleinement!

Avec mon plus grand amour,
Guillaume.


  1. Définitions : Joie — Dictionnaire de français Larousse. (n.d.). consulté le 16 juillet 2016, http://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/joie/44939?q=joie#44888

Pour devenir un bouddha, suis les pas du bouddha

Pour devenir un bouddha, suis les pas du bouddha. ~ Dr et Maître Zhi Gang Sha.

J’adore cette citation. Je ne suis pas bouddhiste. J’ai grandi dans la religion catholique, suivant l’enseignement de Jésus. Cependant, mes parents m’ont toujours poussé d’une certaine manière à rester ouvert aux autres courants spirituels et religieux. Ce n’est que maintenant que j’apprécie chaque religion pour cette voie qu’elle nous montre.

L’universalité des enseignements de Maître Sha fait en sorte que nous pouvons puiser dans les différents courants religieux majeurs pour corroborer l’information. La plupart du temps, nous savons que ces derniers sont vrais, car ils résonnent au plus profond de nous et il n’y a aucun doute.

Lorsque je prends du « recul » par rapport à mon cheminement, je me rends compte à quel point cette situation est vraie. Vers 7 ans, l’enseignement de Jésus me toucha beaucoup. Son commandement : Tu aimeras ton prochain comme toi-même1 est l’un des enseignements qui me sont restés. Sa parole d’amour, sa compassion, les miracles qu’il fit m’étaient familiers. Je suis éternellement reconnaissant pour ce professeur de religion qui m’a guidé à travers ces enseignements sur l’importance d’aimer inconditionnellement. Même si le cadre quotidien était difficile, ce professeur nous invitait à suivre l’exemple de Jésus et à vivre ces qualités au jour le jour.

Par la suite, un différend s’est installé durant mon adolescence à la suite duquel je ne trouvais plus ma place avec la religion catholique. Le chemin qui m’était montré ne me convenait plus. Malgré l’amour que je pouvais avoir pour cet être spirituel, une certaine insensibilité s’était montrée. Je m’étais posé la question si les religions n’étaient pas des sectes, au sens péjoratif, par leur dogme et le manque d’amour des hommes de foi. C’est l’une des nombreuses raisons qui peuvent pousser les personnes à vouloir changer de foi, car le chemin qu’elles ont suivi ne correspond plus à l’aspiration qu’elles ont d’accomplir le désir de leur âme.

Cela m’a poussé à être ouvert à d’autres courants spirituels. Mes parents m’ont montré le leur, sans pour autant m’y accrocher. Ce n’est qu’une dizaine d’années plus tard que j’ai rencontré Maître Sha. La période de ces dix dernières années fut une période de remise en question et de recherche de soi. Errer sans savoir, répondre aux questions de la vie : qui suis-je? Que suis-je venu accomplir? Où vais-je? Autant chercher une aiguille dans une botte de foin. J’ai erré durant ces dix dernières années à essayer de trouver ce guide pouvant me permettre d’avancer davantage. J’ai eu l’impression d’être un mort-vivant jusqu’à ce que finissent par trouver ces réponses. Ce vide spirituel est le résultat d’un déséquilibre entre le choix de notre âme et ce que notre corps continue d’avancer au quotidien. Cela s’est manifesté, pour moi, par une dépression profonde.

J’ai pu m’en sortir, car j’ai eu la vision d’un appel durant cette période. C’est ce rêve qui m’a poussé à me déraciner, à me faire sortir de cette zone « morte » pour me mener vers une terre d’accueil, favorable à mon épanouissement. Avec le recul, je m’aperçois que c’est grâce à la présence de mes guides et de mon maître que cela a pu se faire. Un vrai maître est cette présence divine, cette lumière qui nous remet sur le droit chemin. Un vrai maître va venir nous chercher spirituellement avant d’agir pour que nous puissions le rencontrer physiquement. Il nous montre cette voie. Il nous bénit de tous son amour et continue de le faire inconditionnellement jusqu’à ce que nous soyons prêts, prêts à le reconnaître, prêts à ouvrir notre cœur davantage. Il est continuellement à côté de nous. C’est grâce à ces bénédictions incroyables que nous pouvons nous ouvrir à une autre réalité et le reconnaître.

C’est en suivant ses pas, que nous parvenons à avancer plus rapidement. Il est dit que Shi Jia Mo Ni Fuo2 a enseigné plus de 84 000 façons d’atteindre l’éveil ou l’illumination. Cela nous démontre qu’il y a toujours une voie qui nous correspond.

Lorsque nous suivons un enseignement spirituel, nous suivons les pas de ces guides. Nous nous servons de leur expérience pour que nous puissions avancer davantage sur ce chemin et atteindre nous aussi l’illumination. D’où la citation :

Pour devenir un bouddha, suis les pas du bouddha. ~ Dr et Maître Zhi Gang Sha.

Concrètement, comment faire?

La réponse est simple : suivre leur exemple. Marcher dans leur pas signifie suivre les mêmes pratiques ou trouver un maître, un guide qui va nous enseigner ces pratiques.

La simplicité des pratiques transmises par Maître Sha est l’une des raisons pour lesquelles je continue de le suivre. Son dévouement, sa compassion, son amour, son engagement à toujours nous offrir les derniers outils pour que nous puissions avancer plus rapidement sont des raisons qui font que je suive cette personne.

Les trois outils les plus puissants qu’il nous offre sont les livres, les téléchargements divins et l’usage des Calligraphies Ling Guang du Tao et de la Source3.

C’est trois modalités ont en commun le fait de nous mettre en présence d’une lumière la plus pure possible afin que nous puissions nous accoutumer, vibrer à ces hautes fréquences et vibrations d’amour. C’est là que réside le secret pour avancer rapidement.

Tous les écrits religieux, lorsqu’ils nous sont transmis par amour et le service inconditionnel des disciples nous offrent cette même opportunité de croissance. Chaque religion offre cette voie et ces possibilités.

Trouvez celle qui vous correspond et avancez dans votre cheminement spirituel!
Avançons ensemble, chacun dans sa foi, afin de pouvoir créer cette fresque d’amour!
Embrassons nos différences!
Retrouvons cette universalité!

Avec mon plus grand amour,
Guillaume

  1. Matthieu 22-39
  2. Également connu en Occident sous Siddhartha Gautama, Shakyamuni ou le Bouddha, fondateur du bouddhisme. (Wikipedia
  3. Ling Guang ou 靈光 signifie lumière de l’âme 

Le pouvoir nous est donné !

cerisier en fleur

Le pouvoir est donné! ~Dr et Maître Zhi Gang Sha

Lorsque Maître Sha nous enseigne sur un sujet précis, il n’hésite pas à prendre le temps de reprendre encore et encore, dans son incroyable bonté, les principes et les techniques clés nous permettant de nous rendre autonomes à travers notre propre cheminement spirituel. Dernièrement, je suis retombé sur cette maxime, souvent entendue et pourtant, rarement comprise…

Le pouvoir nous est donné!

Lorsque j’ai rencontré Maître Sha début 2012, j’étais loin de m’imaginer tout ce qui allait se passer par la suite. J’ai eu cette chance de redécouvrir ma famille d’âme. Cette manifestation se faisait grâce à l’accueil, à l’amour, à la générosité de toutes les personnes que j’ai côtoyées… un sentiment de bien-être total. C’est également à ce moment-là que je découvris la médecine de l’âme et ce système donné par le Divin avec ces différents trésors, transplants et autres accessibles à tous.

Ce n’est qu’après mon déménagement à Montréal que mon cheminement s’accéléra. J’ai eu cette chance de recevoir ce cadeau des Mains divines guérisseuses, l’âme des mains de Dieu pour aider notre prochain à traverser les différents défis, problèmes qu’il peut rencontrer sur son chemin. Cependant, ce n’est que bien des années plus tard que je pris conscience de l’ampleur de ce cadeau et de tous les autres qui s’ensuivirent.

Maître Sha nous pousse à être autonomes. De mémoire, il nous a partagé sa préférence de ne pas vouloir (ou pouvoir – arrf, je m’en rappelle plus 😕) guérir les personnes sinon ces dernières finiraient par être dépendre de lui. Cette prise de position contraste avec ce que nous avons vécu et vivons encore maintenant dans la société. Nous avons été poussés à dépendre de presque tout… au détriment d’une certaine autonomie, d’un certain recul nous poussant à avoir une réflexion sur les actes que nous posons. Il est plus facile de suivre la masse que de se positionner à contre-courant s’attirant au passage des critiques. Dans le but de nous aider à devenir autonome, Maître Sha nous a partagé deux manières de le faire : l’une, via la discipline de soi, l’autre en utilisant les différents trésors, téléchargements et transplants divins.

La discipline de soi

couverture de Soul Mind Body MedicineDepuis plus de dix ans, Maître Sha nous partage, dans son livre Soul Mind Body Medicine, comment nous prendre en charge, nous transformer et, par la suite, aider les autres à se transformer.

Ce livre est une énorme synthèse et un outil de référence en ce qui concerne la guérison de soi. C’est en le lisant encore et encore que je me rends compte à quel point le principe de se guérir est très simple : en appliquant la formule « Dire bonjour ». La formule « Dire bonjour » est l’élément-clé sur lequel se base ce système, celui du pouvoir de l’âme.

Depuis des siècles, nous avons vécu une mise en avant du pouvoir de l’esprit sur la matière. Notre cerveau, notre conscient, notre subconscient sont étudiés sous toutes les coutures depuis le XIXe siècle, voire même avant. Nous reconnaissons l’importance d’utiliser cet aspect pour la guérison. Nous l’utilisons sans cesse en visualisant lors de nos méditations. Il en est de même avec la guérison par le son avec le mouvement du sound healing (la sonothérapie) remis au goût du jour. Le troisième secret qui nous est parvenu à travers les âges quant à lui est celui de la position des mains ou du corps afin de favoriser l’équilibre énergétique à l’intérieur de notre corps; pensons aux différentes disciplines comme le yoga, le tai-chi, le qi gong…

Avec Soul Mind Body Medicine, Maître Sha nous entraîne dans l’univers du pouvoir de l’âme, nous expliquant ainsi comment les prières peuvent guérir. En combinant à la fois le pouvoir de l’âme aux autres techniques (celles du corps, de l’esprit et du son), nous parvenons à accélérer le processus de transformation et de guérison de notre propre corps.

Cerise sur le gâteau (ou le sundae), nous avons même la possibilité d’utiliser ces techniques simples pour aider les autres! Cependant, cela reste tout de même limité. En effet, les résultats que nous obtenons ne dépendent que de notre engagement à vouloir nous transformer et servir les autres ainsi que du statut de notre âme dans les Cieux.

L’honneur de recevoir les trésors

Nous vivons à une époque où un grand changement est en train de prendre place. Nous avons l’occasion de grandir davantage, d’évoluer davantage. Cela nous donne l’occasion de prendre la voie express afin d’avancer rapidement notre cheminement de l’âme.

En utilisant les techniques enseignées dans Soul Mind Body Medicine et par la suite à travers les collections Soul Power Series et Soul Healing Miracles Series, nous avons l’opportunité d’emprunter cette voie express. Maître Sha (le Divin et le Tao) nous guide à travers des pratiques et des outils simples pour nous purifier davantage afin de mieux servir notre prochain. De plus, ils nous bénissent en nous offrant la possibilité de recevoir des trésors (là-dedans, j’inclus les téléchargements, transplants et autres) par les livres, ou, si nous avons l’heureuse occasion, en personne lors de retraite ou formation.

Il faut comprendre qu’avoir des facultés de guérison comme Jésus, Guan Yin, la Vierge Marie et d’autres saints est un immense honneur. D’habitude, ce genre de facultés n’est donné qu’en « récompense » des services que nous avons offerts durant toutes nos vies et sur une longue période de temps. Parce que nous sommes au début de vivre une période de grands changements, dans leur extrême générosité, le Divin et le Tao, par l’intermédiaire de Maître Sha et de ses Canaux divins, nous offrent la possibilité de nous transformer plus rapidement. Si je vous dis que vous pourriez avoir les mêmes facultés que Jésus, Guan Yin ou la Vierge Marie (en reprenant le même exemple), qu’en serait la signification pour vous?

De plus, en observant le parcours de Maître Sha à travers ses livres, je me rends compte que la puissance des trésors offerts est de plus en plus grande. À chaque fois que je relis les livres, je prends toujours le temps nécessaire pour recevoir à nouveau ces trésors. Je les apprécie davantage, car je m’aperçois de leur impact dans ma vie. Utiliser ces trésors m’aide à pouvoir me transformer et à servir mon entourage.

 

Et tout cela n’est que la pointe de l’iceberg. Maître Sha continue de me surprendre encore et encore. Depuis trois ans, il nous offre un outil incroyable afin de servir les autres : les Calligraphies du Tao — dont je vous en parlerai une prochaine fois.

Je vous remercie de votre temps et vous invite sincèrement à faire cette expérience de transformer votre vie.
Recevez ces trésors!
Pratiquez!

Avec mon plus grand amour,
Guillaume

L’illusion de la séparation

Je crois que les sources originales de toutes les religions devraient être enseignées, car avec ce que nous allons trouver nos similitudes, pas seulement nos différences. Je crois que si Mahomet, Bouddha, Jésus et Moïse seraient ensemble, ils seraient meilleurs amis parce que la base spirituelle de toutes les religions est quelque chose qui construit l’unité. ~ Yehuda Berg.

L’illusion de la séparation…, qu’en est-il  ? C’est une question que je me suis posé dernièrement en lisant plusieurs articles dans le journal, et en suivant d’autres penseurs, meneurs spirituels.

Le mot séparation nous indique qu’il y a une conscience de différence entre vous et moi. Cette différence nous est perceptible, quand je me regarde dans un miroir, puis quand je regarde ma bien-aimée, je suis conscient que je suis moi et qu’elle est elle. Nous sommes différents, nos corps sont différents, d’où la séparation. Cela entraîne bien entendu certaines différences de points de vue par rapport à notre éducation et la façon dont nous avons commencés ce parcours spirituel. Heureusement, nous parvenons à mettre nos différences de côté afin d’avancer ensemble sur ce chemin de vie.

Comment percevons-nous cette différence entre nous ? Nous avons tous notre ego, notre conscience. Cette conscience nous aide constamment à prendre certaines décisions dans notre vie. Lorsque cette dernière est alignée avec les décisions de notre âme, nous parvenons à accomplir notre tâche. Le cas échéant, nous vivons des « blocages » parce que cela va à l’encontre de notre but. L’ego s’identifie à lui-même, notre personnalité basée sur notre vécu. Cette personnalité s’est créée afin que nous puissions ressentir un moment de sécurité, cette fameuse « zone de confort » souvent décrite. En soi, c’est une bonne chose… néanmoins, en créant cette zone de confort, nous finissons par ériger des murs invisibles…

Ces murs invisibles sont souvent des préjugés, des façons de penser, des croyances, des attitudes, des attachements que nous finissons par développer en fonction des blessures ou de l’éducation (ou du conditionnement) par lequel nous avons été amenés à vivre en société. Maître Sha nous enseigne que chacun et chaque chose a une âme. Si nous avons érigés ces murs, il se peut que cela soit aussi un miroir de l’environnement dans lequel nous vivions, que ce soit le cadre familial, notre quartier, notre ville ou notre pays.

La résultante de ces murs est le développement de la peur. Cette peur qui nous fige et nous fait ériger encore plus haut ces murs, les épaississant, nous faisans croire à un sentiment de sécurité… qui est faux. Cette peur se développe car nous n’osons plus aller vers l’autre, nous avons fermé notre « cœur ». Le changement nous effraie et nous hésitons à l’accepter lorsqu’il se présente à nous. Un autre aspect se développe nous faisant croire que nous avons raison, que nous détenons la Vérité sans pour autant aller vers l’autre, partager un moment avec lui et entendre son expérience.

Appliqué à la société, cela se traduit par des politiques conservatives voire raciste, ostracisant un groupe afin que nous nous sentions en sécurité … à partir d’un certain moment, nous irons même jusqu’à engager des guerres afin de prouver notre point de vue, … comme de jeunes enfants ayant grandi dans ce contexte-là. Nous finissons également par prendre pour acquis que tous nous appartient et nous avons droit de les prendre sans tenir compte des autres peuples vivant déjà sur ces terres… tout cela parce que nous avons peur. Nous finissions par accepter qu’il est normal de tuer et d’avoir des membres de notre société se faire tuer, juste parce que l’autre est différent.

Alors que tout n’est qu’illusion…. Nous vivons dans une époque où nous avons ce choix de dire : Non ! Nous avons cette possibilité de faire tomber ces murs et de nous ouvrir davantage à l’amour universel, à cet amour divin… C’est sûr, accepter de faire tomber ces murs est effrayant… c’est un choix. Nous avons le choix de réaliser à quel point, cette illusion, cette séparation est créée par la peur. En laissant l’amour venir dans notre vie, nous refaisons cette expérience de plénitude, de bien-être. Nous pouvons nous apercevoir à quel point nous nous ressemblons. Que ce soit ma partenaire et moi, nous finissions par avoir énormément de point en commun. Nous sommes tous des enfants de Dieu (ou bien choisissez un nom qui vous convient). Cette différence qui existe est là pour que nous puissions faire cette expérience d’une autre facette de cet amour universel. Que ce soit vous, un collègue, un voisin, ma partenaire, … nous sommes tous des représentants de cet amour universel. Nous avons tous cet impact dans la société pour faire changer cette conscience collective. C’est d’ailleurs pour cela que chacun d’entre nous est important.

Maintenant, comment apporter ce changement dans notre vie ? Comment faire cette expérience au quotidien ? Comment partager l’amour, la paix et l’harmonie dans notre vie ? Comment ressentir cette unité ?

Chantez le chant Love, peace and Harmony (Amour, paix et harmonie) est une manière de le faire. Ce chant sacré nous permet de faire fondre les barrières de notre cœur et de changer notre quotidien. Utilisez les techniques des Quatre Pouvoirs enseignés par Maître Sha, chantez et partagez ce chant. Devenez des messagers d’amour, de paix et d’harmonie.

Avec mon plus grand amour,
Guillaume.