Catégorie : Mes miracles de guérison de l’âme pour ouvrir mon coeur et mon âme au Divin

Je tiens à m’excuser si ce titre est un peu égoïste. Lorsque je demandais à être inspiré pour le billet d’aujourd’hui, j’ai eu plusieurs sujets intéressants, dont la gratitude et la guérison de l’âme, en particulier que sont les guérisseurs « divins » de l’âme. Ces réflexions ont eu lieu tout au long de la semaine à la suite de mes expériences et de mes lectures.

En effet, cela fait depuis plus d’une semaine que je prends le temps de lire : Soul Wisdom, Practical Soul Treasures to Transform Your Life de Dr et Maître Sha. Ce livre est une mine d’informations très intéressantes de par le fait que nous avons accès à des techniques de guérisons de l’âme applicables par tous. Pas besoin d’avoir des connaissances particulières en médecine, nous puisons dans la sagesse de notre âme et celle des saints en leur faisant confiance pour nous guérir. Cela fonctionne !

Maintenant, qu’est-ce qui différencie un guérisseur d’un guérisseur « divin » de l’âme ? Même si notre âme a un énorme potentiel de guérison, il y a une différence due à son statut dans les Cieux. Ce statut est lié à notre karma, aux services que nous avons rendus dans cette vie et dans nos vies passées. Dès lors, le temps nécessaire pour obtenir le résultat voulu dépendra fortement de ce statut. Si nous souhaitons pouvoir augmenter le pouvoir de notre propre âme, la seule solution est de se purifier en offrant du service inconditionnel, en demandant pardon.

Il existe différents guérisseurs très puissants sur la planète, et je les honore tous. Cependant, leurs propres capacités dépendent du statut de leur âme et s’ils sont, ou non, soutenus par le Divin.

Un guérisseur « divin » de l’âme peut utiliser, voire combiner, les techniques traditionnelles de guérison pour apporter plus de transformation durable. Le qualificatif « divin » fait référence à ce lien spécial qui existe entre le guérisseur et le Divin. Maître Sha (et le Divin) nous offre, à travers ces livres, différents trésors « divins » nous permettant de transformer notre propre corps afin d’être de meilleur serviteur et d’apporter une autre fréquence d’amour et de lumière autour de nous. Ces trésors sont disponibles à travers tous les livres de la Collection du Pouvoir de l’âme (Soul Power Series) ou des Miracles de guérison de l’âme (Soul Healing Miracles Series). Nous pouvons utiliser ces trésors comme outil de guérison/transformation lorsque nous nous retrouvons avec un client. En utilisant ce trésor, nous sommes un guérisseur « divin » de l’âme.

À l’heure actuelle, nous vivons une période intense de purification. Nous pouvons le constater dans les différents médias, même à travers les réseaux sociaux. Maître Sha a voyagé et voyage à travers le monde sans cesse pour éveiller notre conscience à la réalité qui nous entoure. Il nous offre sans relâche différents outils, les uns aussi puissants que les autres, afin que nous puissions purifier, servir, guérir et transformer le monde autour de nous.

Lorsque j’ai commencé à le suivre en 2012, j’ai eu la chance de devenir un Guérisseur de l’âme aux Mains divines guérisseuses (Divine Healing Hans Soul Healer). Après la formation, je suis devenu un guérisseur « divin » de l’âme. Bien entendu, j’étais très honoré, même si je ne comprenais pas toute l’implication que cela apportait. Quatre ans plus tard, je me rends compte de l’importance et de la qualité de ce lien qui existe. Les Mains divines guérisseuses sont l’âme des mains de Dieu. Être Guérisseur de l’âme aux Mains divines guérisseuses est une occasion unique d’apporter cette qualité divine dans le quotidien des personnes que nous croisons tous les jours. Il y a bien entendu des directives à suivre, mais la transformation que nous vivons dépasse tout entendement et rayonne tout autour de nous.

Au moment où nous devenons guérisseur « divin » de l’âme, c’est Dieu et les saints dans les Cieux qui prennent le relais, dès que nous activons les trésors reçus. Le résultat du service que nous offrons dépend entièrement de ce que les Cieux décident. Nous ne forçons pas la guérison. Nous suivons ce principe éternel de laisser les choses suivent la volonté de la nature, Tao Fa Zi Ran. 

J’ai fini par trouver cela fascinant et époustouflant. Et en même temps, je me suis rendu compte de l’importance d’avoir de la reconnaissance, de la gratitude. Je tiens à vous partager la leçon reçue aujourd’hui de Shi Jia Mo Ni Fuo :

Cela résume bien la révélation que j’ai eue cette semaine. Je souhaitais la partager avec vous, car il est important, peu importe notre croyance, de remercier la personne qui nous rend service. Si cette dernière est anonyme, alors remercions le monde des âmes, ce monde invisible qui nous entoure.

Avec mon plus grand amour,
Guillaume

Le plus beau métier d’un homme est le métier d’unir les hommes

~ Antoine de Saint Exupéry

Trouvé au hasard des rencontres et des partages, je vous partage ci-dessous une nouvelle intéressante, à la fois par le sujet traité et la réflexion qu’elle amène.

Ce que j’aime de cette histoire est la manière imagée d’expliquer notre unité, de l’intérêt que nous avons à promouvoir la bonté, parce qu’après tout, nous sommes un.

Et vous, quelle est votre réaction ?

Avec le plus grand amour,

Guillaume

Honore ton père et ta mère, comme l’Éternel, ton Dieu, te l’a ordonné,
afin que tes jours se prolongent et que tu sois heureux
dans le pays que l’Éternel ton Dieu te donne. »

~ Deutéronome 5:16

Honorer son père et sa mère fut une notion assez vague quand j’ai grandi. Suivant les préceptes de la religion catholique durant mon enfance, ce quatrième commandement de Dieu, « Tes père et mère honoreras, tes supérieurs pareillement » était une notion que je n’avais jamais réellement comprise.

Qu’est-ce qu’honorer ? La définition, selon le Larousse, est : (i) marquer son respect, sa considération pour quelqu’un, pour sa mémoire, rendre hommage à ses qualités, à son mérite, (ii) respecter quelque chose, le tenir en haute estime, (iii) décerner une distinction à quelqu’un, à quelque chose, leur accorder une marque d’attention flatteuse ou d’intérêt montrant l’estime ou la considération qu’on leur porte, (iv) faire honneur à quelqu’un, à une collectivité, à un état, etc., contribuer à leur bonne réputation ; être un motif d’estime pour quelqu’un, quelque chose ou (v) s’acquitter d’une obligation, faire face à un engagement.

Qu’en est-il donc dans notre société ? Pouvons-nous dire que nous nous respectons et honorons les uns les autres ? Qu’avons-nous gagné, dans notre modèle de société occidentale, à cultiver ce culte du soi mis à part le mépris, la jalousie, la colère ? Pourquoi tant d’Orientaux prennent-ils un moment chaque jour pour honorer leur père, leur mère et leurs ancêtres ?

Honorer implique non seulement le respect de l’autre, mais aussi la gratitude. Dès notre naissance (ou retour), nos parents, majoritairement, nous aiment d’un amour inconditionnel. Ils nous soutiennent durant toute notre vie afin que nous puissions nous épanouir. À notre tour, nous devenons parents et offrons cette même chance aux autres. C’est un cycle que nous avons toujours connu.

Ce n’est qu’une fois devenu parent, que nous finissions par comprendre les choix de nos propres parents, de l’amour qu’ils ont. Souvent, nous faisons cette expérience d’une immense gratitude, car nous élever et nous soutenir n’est pas toujours facile. Leurs actions, bonnes comme mauvaises, ont marqué notre vie. En reconnaissant leur travail, nous acceptions de les aimer pour ce qu’ils sont.

Maître Sha nous partage cet ancien proverbe spirituel :

前人栽树后人乘凉
Qian ren zai shu, hou ren cheng liang 

« Qian ren » signifie ancêtre. « Zai » signifie planter. « Shu » signifie arbre. « Hou ren » signifie descendants. « Cheng liang » signifie profiter de l’ombre. Dès lors, « Qian ren zai shu, hou ren cheng liang » (prononcé tchienne jeune dzaille chou, ro jeune tcheung-liang) signifie les ancêtres plantent les arbres, les descendants profitent de l’ombre. Ce proverbe nous enseigne que si nos ancêtres ont accumulé des bonnes vertus par leurs bons services, nous profitons des bienfaits.

D’où l’importance de les honorer pour ce qu’ils ont fait !

Nos ancêtres continuent d’influencer notre vie, qu’ils soient vivants ou non, par l’héritage qu’ils ont laissé. Cet héritage se trouve dans nos cellules, pour ceux de cette vie-ci, ou dans notre âme, pour ceux des vies passées. En les honorant, nous leur montrons notre amour et gratitude. Ce geste simple continue de bénir la relation que nous avons avec eux, tout comme il bénira la relation que nous aurons avec notre descendance. En pardonnant à nos ancêtres pour les défis liés à leurs actions, nous libérons cette relation en apportant plus de lumière, facilitant la relation qui s’ensuivra avec nos descendants. En libérant cette relation, nous faisons de l’espace à de meilleures bénédictions pouvant influencer notre vie afin d’être plus heureux et en meilleure santé.

Je vous invite dès lors à prendre un moment chaque jour, pour honorer vos ancêtres et le cas échéant, à les pardonner.

Avec le plus grand amour,
Guillaume

Si vous souhaitez réellement le bonheur, cherchez et apprenez à servir.

~ Albert Schweitzer

J’ai embarqué sur ce chemin vers la mi-février 2011. Je venais juste de finir mes études. Après une période de repos, je me souviens avoir pris un moment pour déclarer à Dieu que j’étais à nouveau disponible, prêt à dédier à ma vie à son service. J’ai toujours eu ce désir de servir mon prochain. J’avais passé les cinq années précédentes à étudier le son, et j’ai cru un moment que cela aurait été ma manière de servir les autres. C’était sans me douter du chemin que j’aurais à parcourir.

Quelques jours après ma demande, je reçu un email m’indiquant qu’il y avait une demande d’emploi pour un technicien du son pour une série d’évènements. La brève description de l’emploi et de l’évènement m’indiquait que le conférencier principal était un grand guérisseur par les sons. Heureux de cette coincidence, je répondis à l’annonce et passa l’interview téléphonique qui s’ensuivit.

Peu avant la conférence, le premier jour, j’en appris plus à propos de ce grand guérisseur. En lisant les dépliants et en parlant avec les autres volontaires, j’appris que ce guérisseur, Dr et Maître Sha, travaillait au niveau de l’âme. Brièvement ébranlé par cette nouvelle et légèrement déçu, je revins vers la console. Cependant, les volontaires avaient tous un petit quelque chose qui résonnaient en moi. Leur attention, leur joie, leur amour avaient quelque chose que je n’avais pas ressenti depuis longtemps.

Lorsque je vis Maître Sha arrivé, pour une raison inexplicable, mon âme s’est inclinée face à lui. C’était un homme simple, humble, avec un sourire d’enfant. Il était suivi de prêt par Maître Peter et Maître Cynthia. Mon coeur n’était pas encore suffisamment ouvert pour reconnaître la présence divine qu’ils incarnaient également.

Je fus béni d’avoir été capable de servir durant cette période. Je me suis ouvert petit à petit à cette communauté, à cette famille d’âme. Les jours s’écoulèrent vite et je voulais en savoir davantage. J’étais excité et à la fois triste, triste parce que je devais les quitter bientôt à la suite d’une décision de partir pour Montréal. C’était sans me douter qu’une communauté existait à travers le monde et qu’il y avait une cellule à Montréal.
L’une des volontaires m’a introduit à Johanne, étudiante avancée, pour me faire connaître cette communauté francophone. Elle me demanda de servir pour un atelier se déroulant la fin de semaine suivante. Après m’avoir convaincue, je me retrouvai de nouveau à aider. C’était sans savoir que ce week-end allait m’apporter l’une des réponses aux questions que je me posais sans cesse : Suis-je capable digne d’être aimé ? Cet atelier était ititulé « Ouvrir vos canaux spirituels ». Les bénédictions reçues lors de cette fin de semaine m’ont permis de comprendre que nous sommes aimés, que Dieu (ou le Divin) est là pour chacun de nous et que c’est à nous de faire le nécessaire de revenir vers lui. Il a toujours été là, attendant patiemment que nous prenions le temps de nous ouvrir à nouveau à lui.

C’est à ce moment là, malgré les nombreux défis qui s’ensuivirent, que je pris la décision de servir ma communauté. Plusieurs semaines plus tard, je renouvelais le voeu de le faire avec Johanne, afin de combiner nos efforts pour mieux servir notre communauté.

Ce n’est que quelques années plus tard, je finis par comprendre que cette communauté implique chaque personne que nous servons, peu importe où se trouve cette dernière dans le monde.

C’est avec plaisir dès lors que je renouvelle ce voeu. Contactez nous et laissez-nous vous aider.

Avec le plus grand amour,
Guillaume